Toujours deux composantes
Les données spatiales se répartissent ensuite en deux grands types numériques
On ne prend généralement pas en compte, dans cette définition, les données à composante spatiale ne possédant pas de partie graphique, par exemple les tables de données uniquement alphanumériques (nombres et textes) comprenant une référence spatiale : une adresse, un code géographique ou des colonnes de coordonnées (des exemples de telles données seront utilisés plus loin).
Comme ces données correspondent à des surfaces que l'on peut empiler dans le logiciel de SIG, on les appelle souvent des couches.