L'acquisition regroupe les opérations qui permettent de créer ou de convertir de l'information numérique spatiale en vue de son intégration dans un SIG.
On y décrira les points suivants :
Ces deux opérations concernent la prise en compte de données dans les SIG, par conversion, transformation, adaptation ou traduction. Pour les cas courants d'intégration de données isolées existantes, elles sont automatisées grâce à l'utilisation de briques logicielles centrales dans les SIG qui effectuent les conversions de format et les reprojections des données, essentiellement GDAL/OGR et PROJ. Dans le cas de données à interpréter pour en révéler les dimensions spatiales (géocodage, géoréférencement), on peut utiliser QGIs et des outils externes (notamment des bases d'adresses).
QGIS s'en chargera donc directement, pour l'essentiel (outre la connexion à des bases existantes). On fera donc quelques recommendations de formatage et de maintenance des projets avec QGIS. Dans le cadre d'un SIG sous la forme d'une base de données spatialisée, QGIS peut servir d'intermédiaire pour l'importation et pour l'interface.
Il s'agit là, logiquement, du cœur des fonctionnalités d'un SIG, la partie où le système va pouvoir répondre à des questions, créer de nouvelles données par croisement et enrichissement. Nous examinerons des exemples et réaliserons quelques opérations de croisement d'informations, requétage et analyse.
Ces deux fonctions seront logiquement regroupées, car elles correspondent à la réalisation de documents de présentation de résultats, de planche cartographiques, et à leur diffusion, sous la forme d'images ou de cartes interactives sur le web.